Situation contrastée selon les marchés

Tendances, l’expertise du GEB

Un mensuel : des analyses, des données, des dossiers, un rendez-vous, un zoom, des historiques d’indices de référence…

Zoom

Le marché dégradé du veau de 8 jours incite-t-il les éleveurs laitiers à engraisser davantage leurs veaux ?

Parmi les 390 éleveurs laitiers qui ont répondu à une enquête en ligne, une minorité envisage d’élever davantage de veaux mâles, surtout en veaux gras. En parallèle, une part non négligeable d’éleveurs avec atelier de jeunes bovins souhaitent lever le pied en engraissement.

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Chiffre du mois

+1,7% la hausse de la collecte laitière dans l’UE-27

C’est hausse de la collecte européenne de lait de vache en juillet d’une année sur l’autre. Cumulée sur 7 mois, elle a progressé de +1,8% /2019, effet année bissextile neutralisé.

Au sommaire de Tendances lait viande

N° 320 Septembre 2020 Mise en ligne le 15/09/2020
Viandes bovines

Du mieux en femelles et en veau de boucherie

Avec le déconfinement puis la rentrée scolaire, le marché français sort du marasme et la consommation française repart. Ceci permet aux prix des femelles de remonter. De même, le marché du veau gras, en proie à une crise profonde, montre de timides signes d’amélioration. A l’inverse, les lourdeurs sur le marché européen du JB font pression sur les prix des mâles finis et des bovins maigres.

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Lait de vache

Conjoncture laitière robuste malgré la récession économique mondiale

La conjoncture laitière défie les pronostics des conjoncturistes. Les marchés mondiaux des produits laitiers résistent à la récession économique mondiale. La demande internationale demeure robuste face à une production laitière toujours dynamique dans les grands bassins excédentaires, en premier lieu dans l’Union européenne.

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Viande ovine
Lait de chèvre et viande

Conjoncture déprimée en viande, plus sereine en lait

Le confinement généralisé de la population en Europe a bouleversé les habitudes de consommation (notamment à Pâques, qui compte pour 60% de la consommation annuelle de chevreau). Faute de demande, les prix sont restés au plancher, et les stocks constitués pendant la campagne pascale plombent le marché et déstabilisent la production. Les cours risquent de rester bas en fin d’année.

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