Tandis que les abattages ralentissent en France pour s’adapter à un marché atone, ceux-ci ont rebondi début 2022 au Royaume-Uni et en Irlande. Leur production devrait rester dynamique le reste de l’année, permettant aux exportations de viande ovine britanniques comme irlandaises de s’établir à de meilleurs niveaux qu’en 2021.
Si la Nouvelle-Zélande reste concentrée sur la Chine et les USA, l’Union européenne demeure une bonne opportunité pour les autres grands exportateurs.