La production se rétablit en Océanie. L’Australie a retrouvé de très bons niveaux d’offre tandis que la Nouvelle-Zélande maintient son volume de l’an passé. Face à ces deux géants, la Chine, dont l’appétit reste élevé, mais pas suffisamment pour absorber toute la viande océanienne.
En Europe, l’Irlande et le Royaume-Uni ont aussi des disponibilités conséquentes pour l’export.