Depuis six mois, la cotation de l’agneau français s’apprécie de façon continue et cela se répercute partiellement sur les cotations des agneaux britanniques et irlandais, qui connaissent alors une baisse saisonnière atténuée.
La production française limitée, complétée par des importations toujours réduites, reste en retrait et est bien ajustée à la demande, ralentie après l’Aïd.