On observe depuis le début d’année une baisse de la demande chinoise qui se traduit par une réorientation des flux de l’Asie vers l’Europe. Alors que l’accord de libre-échange entre l’UE et la Nouvelle-Zélande est fraîchement entré en vigueur le 1er mai 2024, les professionnels de la filière s’inquiètent des potentiels effets d’un afflux de viande compétitive sur les prix français.