Les disponibilités sont toujours limitées sur le marché intérieur français. D’un côté, les importations françaises de viande ovine restent faibles, du fait principalement d’un manque d’approvisionnements en provenance du Royaume-Uni et de la Nouvelle-Zélande.
De l’autre les sorties d’agneaux des élevages français sont réduites malgré des importations d’agneaux vifs plutôt élevées qui n’ont fait que contrebalancer des exportations toutes aussi importantes.