Malgré la forte remontée du prix du lait, la production laitière demeure ralentie dans les les principaux pays exportateurs sous l’effet de la flambée du prix des intrants et d’une météo adverse dans certains bassins. La production recule de nouveau dans l’UE-27 après un sursaut en février.
Elle demeure ralentie en France où les éleveurs semblent privilégier la valorisation des fourrages et le levier des effectifs de vache à celui de la productivité plus exigeant en aliments concentrés.
La pénurie de lait se répercute sur le marché de la poudre maigre, même si la Nouvelle-Zélande a relancé ses fabrications suite à l’effondrement de la demande chinoise en poudres grasses.